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LE SYNOPSIS

La licence Sciences et Humanités est née d'une lutte. En 2009, sous Nicolas Sarkozy, les lois Pécresse dessinent la future anatomie des universités. Au cœur de la réforme : la volonté de "professionnaliser" les filières de l'Université pour rendre les étudiant.es plus opérationnel.les pour le monde du travail. En réaction, le mouvement des enseignants-chercheurs est d'une ampleur considérable, partout en France. Six mois de blocage. La mobilisation est particulièrement suivie dans l'académie d'Aix-Marseille. C'est l'occasion pour les universitaires, toutes disciplines confondues, de rencontrer leurs confrères et consœurs. Pour la première fois, des physiciens parlent à des profs de lettres. Gaëtan Hagel, physicien, leur propose d'imaginer ensemble un idéal pour l'université. Une formation qui ressemblerait à ce qui pourrait se faire de mieux en matière d'enseignement. Ils seront une trentaine à oeuvrer à la création de cette licence inédite. Elle verra le jour en 2012 et poussera la transdisciplinarité jusqu'à proposer des cours à trois voix aux étudiant.es. 

 

En Sciences et Humanités, le savoir n'est pas un discours, il se double aussi de la pratique des disciplines. Il en va aussi d'une considération du corps des élèves dans les enseignements, un des principes qui sous-tend la formation. 

Pendant trois ans, au sortir du Bac, les étudiants vont aborder le savoir par le croisement des disciplines et l'expérimentation. Ils découvriront ainsi toutes les facettes de la couleur, par exemple, grâce au dialogue orchestré entre la chimie, la sociologie et les lettres modernes.

 

En suivant quatre d'entre eux, de la première à la troisième année, le film décortique cette mécanique subtile qui n'est pas donnée d'emblée. Pour certains, cet exercice complexe de la pensée débouchera sur une métamorphose. En regardant à la loupe cette expérimentation, Les lumières propose une réflexion sur une possible autre voie dans l'éducation, grâce à la transdisciplinarité. Des graines semées qui viendront peut-être réformer l'Éducation de l'intérieur.

La bande-annonce 

LA BANDE-ANNONCE 

L'intention

de la réalisatrice 

Valérie Simonet

Les personnages 

L'équipe du film

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VALÉRIE SIMONET

AUTEURE, RÉALISATRICE

Valérie Simonet vit et travaille à Marseille comme auteure et réalisatrice indépendante. Ses premiers films ont été dédiés à la Méditerranée, des profondeurs de la mer à son Histoire millénaire. Elle se consacre aujourd'hui à des documentaires de société, notamment sur le monde de l'enfance et l'Éducation. Diplômée de l'ESSEC et de l'Université de North Carolina, elle a débuté comme journaliste après avoir remporté un concours de jeune reporter autour du monde. Elle a ensuite fait ses armes en radio, avant d'intégrer la rédaction de journaux (Libération, La Provence). Elle fait partie des fondateurs de Marseille l'Hebdo, citymagazine d'information, qui l'a animé pendant huit ans. Elle est lauréate du Prix Alexandre Varenne de la presse hebdomadaire régionale (2002) pour ses articles sur les enfants des rues à Marseille. Elle a également publié des guides sur sa ville natale et sur la Provence. Depuis 2019, elle a réalisé plusieurs films et un jeu interactif pour la manifestation en bibliothèques sur l'aire métropolitaine Aix-Marseille, Lecture par Nature. En 2023, elle a signé un film long sur le mouvement littéraire Oulipo, mettant en scène 5 auteurs dans 5 villes du Sud. 

VALÉRIE MONTMARTIN

PRODUCTRICE 

Valérie Montmartin est productrice et présidente de Little Big Story, créée en avril 2014. Elle s'est spécialisée dans les coproductions internationales ambitieuses (documentaires, animation, films immersifs, impact, fiction). Elle poursuit sa politique en direction des jeunes auteurs et accompagne de nombreux premiers films. Elle a récemment produit la série Les Poisons de Poutine de Jennifer Deschamps (ARTE); Un pur espion de Rémi Lainé (FRANCE TV); Les oubliés de l'atome de Suliane Favennec (FRANCE TV). Elle a mené plusieurs campagnes d'impact dont NUMBER INTO NAMES qui accompagne le documentaire Numéro 387 de Madeleine Leroyer (ARTE) et promeut le droit à l'identité et à la dignité pour toutes les victimes de nos frontières et le droit de leurs familles à savoir.  Elle est diplômée d'EURODOC (2015) et d'EAVE (2020). Elle a suivi la formation "Expertiser un scénario" à la FEMIS en 2019. L'année précédente, elle reçoit le Prix du Producteur de télévision, dans la catégorie documentaire.

THOMAS DEBORDE

COMPOSITEUR

Thomas Deborde est un compositeur autodidacte. Il débute sa carrière en tant que guitariste du groupe stéphanois SUPER FUDGE CHUNK entre 2002 et 2008 (Electro-Rock / Metal) avec lequel il se produit sur de nombreuses scènes en France mais également au RoyaumeUni. Dans le même temps, il accompagne l'artiste Franck Viallet (Rock / Chanson française) entre 2005 et 2011 en concert, comme en studio. De 2008 à 2013, Thomas Deborde fonde un projet solo appelé EARLY FASHION, dans lequel il abandonne la guitare pour le chant et les programmations électroniques. À l'origine d'un Album et de trois EP, il se produira sur scène accompagné d'un pianiste et d'un quatuor à cordes. Depuis 2013, il se concentre sur la composition et l'analyse musicale. Il est à l'origine des bandes originales de plusieurs courts-métrages, documentaires, publicités et films institutionnels ainsi que de créations musicales personnelles diverses.

Crédits

Un film de 

Valérie Simonet

2021 - 60'

produit par 

Valérie Montmartin 

LITTLE BIG STORY

en coproduction avec

avec le soutien de 

en partenariat avec

Maritima TV

la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur

le CNC

Images

Alain Trompette, Steeve Calvo, Jean-Christophe Gaudry,

Valérie Simonet, Pierre Siedel, Oriane Sambassivapoule

Son


Montage

Raphaël Roche

Isabelle Lemaitre

avec Oriane Sambassivapoule, Tania Goldenberg

Conception de la 

campagne d'impact

Clémence Ughetto

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